L’appétit vient en mangeant, surtout quand on a faim.
Le petit creux enfle et croît et l’appétit démange
Appétit souvent, appétit puissant, appétit savant.
Petit à petit l’appétit s’emballe.
Cent balles, mille balles, cent mille balles
Alors l’appétit mord, va, court, vole et nous mange.
C’est alors la petite mort. L’appétit mort.
L’amant lassé, la table vide…
Lamentable vide.
Repu de ce repas, assouvi, l’appétit s’ennuie en ce répit.
Il pâtit, rapetisse, repart et s’abolit…
Pathétique apathie.
Joli bibelot de poésie.
RépondreSupprimerles idées, les mots, les jeux ... <3
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